7 novembre 2010
Dimanche sombre...
Alors que la folie s’empare de tes nuits
Que l’insomnie peu à peu te nuit
Tu sombres doucement dans l’abîme
Mais rien ne te touche
Rien ne te couche
Non, seul, tu ères, intime
Cette douleur te ronge
Détruit chacun de tes songes
Efface tout espoir et te laisse nu.
Sans armes et sans force
Vide de tout contenu.
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